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"C’est méchant, gratuit, sectaire, et cela entretient une atmosphère détestable", a estimé sur RTL Bernard Kouchner après les propos mardi du Premier secrétaire du PS François Hollande.
"Pauvre François ! (...) Pourquoi il fait semblant d’être méchant en permanence ? Pourquoi il s’intéresse au rôle de ministre des affaires étrangères ? J’aurais bien aimé qu’il s’intéresse à ce qu’on avait fait avant et à tout ce qu’on va faire après", a-t-il lancé, rendant hommage au "talent" du président de la République Nicolas Sarkozy dans l’affaire des infirmières bulgares.
"Je ne leur demande pas de me pardonner", a déclaré Bernard Kouchner à propos des socialistes : "je leur demande de voir les faits (...) c’est tout le Quai d’Orsay, tous les diplomates, notre ambassadeur en Libye, qui ont travaillé sur ce dossier depuis le début", s’est-il défendu alors que le Premier secrétaire du PS l’a traité de "spectateur" dans ce dossier.
"Ça ne se passait pas comme ça sous Mitterrand ? Sous Chirac ? Ce n’est pas le président qui dicte la politique ? Qu’est-ce que c’est que ce faux procès ?", a tonné le ministre, estimant que "ça les gênait qu’il y ait un succès de plus de Nicolas Sarkozy et même de Cécilia".
Rappelant qu’il avait fait avec Danièle Mitterrand "beaucoup plus des trucs illégaux", Bernard Kouchner a clos le sujet : "Tout cela, c’est de la bouffonnerie". AP
source : La Tribune.fr