Je suis partie aujourd’hui
Les soins palliatifs à domicile ou le dernier train avant le bleu du ciel par Franca Maï
Franca Maï : Fleurs vénéneuses extrait Crescendo (vidéo)
...Brice Hortefeux, le ministre de l’Immigration, a convoqué hier matin une vingtaine de préfets pour les disputer... Motif : les quotas d’expulsions d’étrangers en situation irrégulière ne sont pas respectés. De son côté, la police ne supporte plus la pression.
source : Bellaciao
...Camarades député-e-s " de gauche" , vous devez , non pas vous "opposer", mais vous REVOLTER, au sein de l’Assemblée, contre ce projet de loi MONSTRUEUX.
Ne pas vous contenter d’une opposition "de salon" mais monter sur vos tables et taper du pied, nous foutre une bronca à tout-va et poursuivre dans la lancée de votre courrier "Nous ne sommes pas à vos ordres".
source : e-torpedo
..."Pour beaucoup de nos compatriotes, l’immigration est une source d’inquiétude" et "il faut comprendre les attentes, les espoirs de cette majorité silencieuse", a expliqué mardi Brice Hortefeux, venu défendre à l’Assemblée nationale son texte controversé sur la maîtrise de l’immigration, qui durcit les conditions du regroupement familial.
"Pour beaucoup de nos compatriotes, l’immigration est une source d’inquiétude. Ils y voient une menace pour leur sécurité, leur emploi, leur mode de vie. Et les Français qui pensent ainsi sont aussi respectables que tous les autres. Il faut comprendre les attentes, les espoirs de cette majorité silencieuse", a déclaré le ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale à l’ouverture des débats dans l’hémicycle...
source : La tribune
...c’est un positionnement indigne de la France qui revient à considérer comme un fardeau dont il faudrait se débarrasser l’immigration de famille ;
c’est un choix de politique publique qui va à rebours de l’objectif affiché. Le gouvernement entend faire de l’intégration des étrangers l’une des priorités de la politique migratoire. Or, le regroupement familial constitue l’un des vecteurs d’intégration les plus efficaces ;
les verrous prévus par le projet de loi risquent de déboucher, en pratique, sur une méconnaissance du droit à la vie familiale normale consacré par le Conseil constitutionnel et du droit au respect de la vie privée et familiale posé par l’article 8 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme...
source : Nouvel observateur
Nicolas Sarkozy, de son nom complet Nicolas, Paul, Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa[1],[2], est le fils d’un immigré hongrois naturalisé français : Pál Sárközy de Nagybocsa (en hongrois nagybócsai Sárközy Pál[3]) né à Budapest le 5 mai 1928, dans une famille de la petite noblesse hongroise anoblie le 10 septembre 1628 par l’Empereur Ferdinand II, roi de Bohême et de Hongrie[4]. Son ancêtre, un paysan qui s’est battu contre les Turcs, n’a pas reçu de réel titre de noblesse mais le droit de faire suivre son nom[5] par celui de son village d’origine et l’usage d’un blason[6]. La famille possédait des terres et un petit château dans le village d’Alattyán (près de Szolnok), à 92 km à l’est de Budapest. Le père et le grand-père de Pál Sárközy avaient des fonctions électives à la mairie de Szolnok (dont celle d’adjoint au maire pour le grand-père). À l’arrivée de l’Armée rouge en 1944, la famille est expropriée et s’exile. Après de nombreuses péripéties à travers l’Autriche et l’Allemagne, Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s’engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l’Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Il francise alors son nom en Paul Sarközy de Nagy-Bocsa. Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu’il épouse. Cette dernière, fille d’un chirurgien du XVIIe arrondissement de Paris, Juif de Salonique (ville de l’Empire ottoman ayant accueilli les Juifs chassés d’Espagne) converti au catholicisme et d’Adèle Bouvier (d’une famille savoyarde devenue française en 1860) est alors étudiante en droit.
Nicolas Sarkozy naît en 1955 dans le XVIIe arrondissement de Paris. Il a deux frères : Guillaume, né en 1951, futur chef d’entreprise dans le textile (vice-président du MEDEF entre 2000 et 2006) et François, né en 1957, qui devient pédiatre puis chercheur en biologie. Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959 et divorce, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l’affaire Villarceaux. Paul Sarkozy se remariera trois fois. De son deuxième mariage, il aura deux autres enfants : Caroline et Pierre-Olivier, banquier à New York etc...etc...
source : Wikipédia