Je suis partie aujourd’hui
Les soins palliatifs à domicile ou le dernier train avant le bleu du ciel par Franca Maï
Franca Maï : Fleurs vénéneuses extrait Crescendo (vidéo)
Auteur : Aline Elorn
Date de parution : 07/2007
ISBN:2-7566-0023-7 Prix : 13 euros
Un os à ronger....
"Avec le drame de Vilnius, on a donné un os à ronger aux féministes, pour qu’elles acceptent en silence des lois qui rendent plus âpre encore le destin des femmes victimes de violences"
Extrait :
"Si l’écho autour du drame de Vilnius a eu le grand mérite de mettre l’accent sur le sort des femmes victimes de violences, et même sur le sort des femmes en général, il est regrettable d’avoir amalgamé ce drame ponctuel avec celui vécu quotidiennement par des victimes à mille lieux de la starisation. Cet amalgame a décrédibilisé le discours des mouvements en lutte contre les discriminations à l’égard des femmes ou en lutte contre les violences conjugales. De même que cet amalgame continue à décrédibiliser, aujourd’hui, les femmes qui osent se plaindre d’être victimes de violences... alors qu’elles ne sont pas (encore) entre quatre planches.
Mais au-delà d’un amalgame néfaste, on peut s’interroger sur les motifs profonds qui ont conduit certains médias à caricaturer un fait divers et métamorphoser un chanteur engagé, impliqué dans de nobles causes, en monstre bestial."
Introduction
Eté 2003. La canicule tue des milliers de personnes âgées. Survient sur nos écrans le Drame de Vilnius. Le chanteur du premier groupe rock français a porté des coups mortels à une célèbre actrice.
Le fait divers fera la une des journaux télévisés et de la presse écrite. Il provoquera la colère, le mépris, le dégoût, ou la douleur.
Certains mouvements féministes, parés d’intentions tout à fait louables, s’empareront de l’affaire pour dénoncer « le sort des femmes battues qui meurent sous les coups de leur conjoint »
Que reste t-il aujourd’hui de ce battage médiatique ? Depuis le drame de Vilnius, y a t-il moins de femmes mortes sous les coups de leur compagnon ? La condition féminine a t-elle évolué dans un sens positif ? La place des femmes en société est-elle désormais valorisée ?
État des lieux
Tragédie individuelle ou tragédie collective ?
Le drame de Vilnius a provoqué beaucoup d’indignation. Des femmes se sont indignées, mais aussi des hommes. Et peut-être avec bien plus de force que les femmes.
On peut s’étonner d’un tel enthousiasme à s’intéresser brusquement au sort des femmes et d’une telle hargne à réclamer la peau d’un congénère. Ce serait à peine exagéré d’affirmer qu’à sa place n’importe quel homme aurait agi de la même manière.
Qui oserait prétendre le contraire ?
Nos politiciens ?
La représentativité féminine dans nos assemblées d’élus est une démonstration éloquente du mépris fait aux femmes.
On mesure parallèlement l’archaïsme de nos institutions, et de notre société, qui considèrent comme une hérésie de porter une femme à la plus haute fonction de l’État.
Et que dire d’un ministre qui s’est récemment offusqué de l’influence sur les décisions de justice par une magistrature majoritairement occupée par des femmes (bien qu’elles ne soient que 2 % à investir des postes importants) sans s’offusquer de l’influence sur les lois par un parlement représenté au 4/5e par des hommes !!!
Nos bellâtres poussant des chansonnettes à la gloire de la femme ?
On peut en rire en constatant que lors de la « journée de la femme », des textes d’auteurs féminins sont lus ou chantés quasi exclusivement par des hommes. Que cette journée-là est prétexte à louer la fonction sacrificielle de la femme, à honorer l’épouse et la mère, selon une bonne vieille tradition pétainiste, à l’instar de la « fête de mères ».
Nos grands penseurs ?
Chantres de la morale et des convenances, depuis des lustres ils remplissent nos bibliothèques au trois-quarts d’œuvres masculines, où la place de la femme est immuable et clairement définie, et où son assujettissement à l’homme est incontestable.
Nos chefs d’entreprises ou chefs tout court ?
... qui ont tant besoin d’une secrétaire préposée à la cafetière, sur fond de promotion-canapé et bas salaires (ou des salaires inférieurs quand elle occupe le même poste qu’un homme).
Le quidam ?
L’homme ordinaire qui massacre verbalement le salaud de Vilnius derrière son pastis, entouré de copains du même acabit, pendant que bobonne torche les marmots et prépare la pitance. Un homme que l’on exonère de sa propre violence, en cadrant enfin la violence masculine : une victime est une femme qui se retrouve entre quatre planches après avoir reçu des coups.
Ou alors, peut-être, nos médias ?
La télévision, et maintenant l’internet, diffusent depuis des années l’image d’une femme tributaire de l’homme, donnant raison aux comptines ou aux chants populaires où il est de bon ton d’encourager l’homme à « battre sa femme » pour qu’elle soit docile, où il est naturel qu’elle lui « serve le rhum », satisfasse des désirs sexuels unilatéraux et soit frappée en cas de manquement.
Nos médias sont les premiers à confiner la femme dans un rôle de subalterne, de présentatrice : c’est la potiche qui présente le journal télévisé, si possible nantie d’un faciès charmant, car on ne demande pas à cette femme-là d’être intelligente, mais simplement avenante ; c’est l’accompagnatrice de l’animateur d’une émission intelligente ou distrayante, le second rôle ou rôle complémentaire, la touche féminine parce qu’une belle femme c’est beau à regarder, ça attire un public plus large et ça parle aux ménagères de moins de 50 ans.
Elle peut s’estimer heureuse de son statut de femme sous-évaluée professionnellement (elle a pu acquérir l’éducation et les diplômes pour y parvenir) car sur le plan international l’image de ses consoeurs est loin d’être valorisée : qu’il s’agisse de tribus au mode de fonctionnement ancestral ou de tribus plus contemporaines, ici ou là, la femme est celle que l’on « donne en mariage », que l’on « vend pour quelques piécettes ou deux chèvres » que l’on accoutre d’une burka, que l’on viole, que l’on excise, que l’on enferme ou qu’on lapide.
Dans une société qui distille continuellement l’image d’une femme inférieure à l’homme, où l’on considère les discriminations à son égard comme normales, où les femmes elles-mêmes s’adaptent à la normalité de leur sort, pourquoi se scandaliser que les violences qui en découlent ne soient pas elles aussi normales ?
Le drame de Vilnius est un drame individuel. Et pourtant, il a bousculé une conscience collective.
Il a bousculé les femmes parce que, malgré les progrès engendrés par les luttes féministes, c’est l’archaïsme d’une société inégalitaire qui leur est revenu en pleine figure.
Il a bousculé les hommes parce que, malgré tous les discours bien intentionnés, aucun d’eux n’est prêt à accepter que ces confortables inégalités disparaissent.
Depuis plusieurs années, on encourage les femmes à exercer une profession. Aujourd’hui,on admire leurs capacités à s’adonner au bricolage, au jardinage, à la mécanique, à des activités naguère dévolues aux hommes.
Un constat s’impose : en quelques décennies, la plus grande conquête des femmes a été la liberté de travailler plus... pour gagner moins.
L’émancipation de la femme touche peut-être quelques privilégiées mais, dans leur grande majorité, les femmes n’ont vu aucune évolution positive de leurs conditions de vie.
Là où l’on espérait que le drame de Vilnius servirait la cause féminine, force est de se satisfaire d’un triste bilan :
En 2000, une femme décédait tous les 6 jours des coups portés par un homme. En 2006, une femme disparaissait tous les 2 jours des coups portés par un homme.
On objectera que les victimes peuvent désormais s’exprimer, qu’elles sont plus nombreuses à déclarer des actes de violences.
On peut en douter sachant que, au-delà des gadgets publicitaires dénonçant le sort des femmes battues, de nouvelles mesures législatives ont été votées, hostiles aux victimes, et visant à les affaiblir matériellement (voir « Le partage des allocations familiales »), sous le prétexte hypocrite de parité. Mesures qui découragent nombre d’entre elles à déclarer les violences subies, de peur d’affronter un environnement social moins sécurisant (..)
Sommaire du livre
État des lieux
. Tragédie individuelle ou collective
. Comment se manifeste la violence faite aux femmes
. La violences psychologique
. La violence physique
. La violence sexuelle
. La violence économique
. Un symbole préfabriqué
. La fronde féminine
. Similitude
Violences morales
. Violences psychologiques ou la mort à feu lent
. Quel type d’homme s’adonne aux violences morales
. Quittez-le !
. (Ce qui se passe) Avant, pendant après la séparation
. Le deuil de soi-même ou le retour à la réalité
À propos de lois
. Le no man’s land juridique des femmes qui n’ont droit à rien
. Paradoxe de la pension alimentaire
. Le partage des allocations familiales
. Arsenal juridique
. Femmes seules
Adresses à connaître
source : Portail du Livre
solaedit une autre forme d’édition
Bonjour, Je joins un commentaire qui se rapporte à vos propos. (Il venait d’être publié sous le pseudo habituel Lambda et concernait un article trouvé sur le Net relatant une des horreurs dont sont victimes des milliards de femmes. Celui-ci est également joint)
Plutôt que de critiquer au 1er degré, il me semblerait immensément plus efficace de remonter à la racine et de placer en exergue les rôles des 3 composantes du cerveau.
Si chacune joue sa partition (v. les notes consignées à la fin), il me semble clair que selon le tempérament profond ou/et l’entraînement correspondant à l’idée et la valeur que nous accordons au néocortex, c. à d. à l’intérêt de l’harmonie (universelle), de l’effet de résonance de l’ensemble et non pas de la jouissance ponctuelle obtenue par l’orgasme ou l’éjaculation), nous réagissons selon des manières différentes, voire antagoniques.
Par exemple, selon note mental, nous trouverons notre plaisir en mangeant bien et copieusement ou notre bonheur en demeurant frugal(e) ou sobre dans n’importe quelle situation. Les un(e)s se régaleront, passeront un bon moment ..., les autres trouveront la sérénité en reprenant chaque matin des positions de yoga, en entretenant leur souplesse, etc.
JE PRETENDS QUE LE RESSORT DE LA SOCIETE DE CONSOMMATION EST L’EXPLOITATION TOUS AZIMUTS DE TOUS LES MANQUES, STRESS, DESIRS, ENVIES, FANTASMES,VIA L’OFFRE de "toujours plus" (t. p.)D’ARTICLES se dévaluant dès que consommés et incitant à aller t. p. loin. Sa politique étant basée sur le court terme, elle n’a aucune raison de favoriser la recherche neuronale et la publication d’ouvrages démystifiant le mode de fonctionnement du cerveau, révélant l’arnaque placée en filigrane...
D’un autre côté, Freud avait constaté notre tendance à suivre le "principe de plaisir" (relié au cerveau des émotions) et non pas le "principe de bonheur"(conçu par le néocortex) ! Ni le "principe de réalité" !
(Déjà, des paysans bergers avaient relevé le "hic" dans un recueil de contes et légendes devenu célèbre suite à sa récupération par une secte devenue grande et maintenant dénommée religion chrétienne. La parabole du "péché originel", qui apparemment n’a ni queue ni tête, représente l’esquisse du principe de plaisir émotionnel et de ses embûches ... ! Ces écrivains n’étaient-ils pas très intuitifs ? Ou, ces remarques encore d’actualité ne prouvent-elles pas notre blocage ? Leur héros (Jésus) ne déclarait-il pas à ses disciples que la plupart des gens étaient et resteraient aveugles et sourds et obtus jusqu’à la catastrophe ? !)
Il y aurait beaucoup d’autres choses à souligner sur la condition de l’homo sapiens (dont le génome voisine celui des bonobos avec moins de 2 % d’écart) mais est-il possible d’évoluer mentalement subitement ?
Pour le moment, celles et ceux qui utilisent le plus leurs néocortex se restreignent à la logique binaire (vrai/faux) élémentaire, à la géométrie euclidienne où des droites imaginaires croissent t. p. jusqu’à l’infini !
La notion de cycle n’est mise en valeur nulle part ! Plus absurde encore, seule la première moitié est positivée ! La "naissance", oui ! Mais la fin (la vieillesse puis la mort), non ! Elles sont refoulées au lieu d’être privilégiées ! Chacun(e) ne devrait-il/elle pas avoir le droit de "bien" vieillir et de partir agréablement, selon ses souhaits ? !
Je préfère vous laisser le soin de conclure après la lecture de ce témoignage !
"CHRONIQUES PAKISTANAISES Mukhtar, violée pour "crime d’honneur" (17/10/2007-00h01 - Pauline Garaude - © Le Point.fr) Au Pakistan, plus de 50 femmes sont violées chaque jour. C’est la tradition du " Haro Kari ", qui veut que quand une femme pose ne serait-ce que son regard sur un homme, elle soit condamnée au viol. Dans les villages, la loi est exercée par une "assemblée villageoise", la jirga . Ses membres sont ultraconservateurs et loin des idéaux démocratiques.
Mais un jour, il a suffi qu’une femme, plus courageuse que d’autres, porte l’affaire devant la justice et que les médias pakistanais et étrangers commencent à parler du " Haro Kari ", le crime d’honneur. Cette femme, c’est Mukhtar Mai. Elle a été violée en 2002 dans son petit village du Pendajb. Depuis, elle est devenue une icône nationale - et internationale - des violences faites aux femmes.
Un soir de juin 2002
Nous sommes le 22 juin 2002, en rase campagne, à Meerwala, où les moeurs sont très rigides. Les femmes sont entièrement voilées sous leur burka et ne sortent qu’exceptionnellement de leur maison. Mukhtar, de la caste des paysans Gujjar, doit affronter le clan de la caste des riches fermiers et guerriers : les Mastoi, réunis en jirga . Son petit frère, Shakkur, 12 ans, est accusé par les Mastoi d’avoir courtisé - et donc violé ! - Salma, 22 ans, une femme de leur clan. Mukhtar doit aller demander pardon. "Ce soir-là, je serrais fort le Coran sur mon coeur. Il était ma protection", se souvient-elle. Mais le destin en décide autrement. Elle est condamnée à être violée collectivement en réparation de la prétendue faute de son frère. Si le viol est régulièrement prononcé contre une femme qui a posé son regard sur un homme, c’est la première fois au monde qu’il a été prononcé pour une faute qu’elle n’a pas commise !
"Chez nous, les Mastoi décident, et les Gujjar obéissent", raconte Mukhtar. Faiz, qui a prononcé la sentence, n’a, selon elle, jamais eu l’intention d’accorder un pardon. "Il voulait une femme Gujjar pour assouvir sa vengeance et affirmer sa puissance. Pour eux, une femme n’est qu’un objet d’honneur ou de vengeance." Quatre murs de torchis et une porte devant laquelle une silhouette armée se découpe. Aucune issue. Aucune prière possible. C’est là, sur la terre battue d’une étable vide, que quatre hommes l’ont violée. "Le viol est leur arme ultime. Le viol tue, car une femme humiliée de la sorte n’a d’autre recours que le suicide", poursuit Mukhtar.
Elle aurait pu se donner la mort. Elle y a pensé, bien sûr. Mais elle a choisi le combat, une rage de justice inscrite en elle. "Quand j’étais petite, je demandais toujours à ma maman pourquoi les pauvres subissaient les malheurs, et pourquoi les riches avaient le droit de tout faire. Elle me répondait que c’était la tradition, et qu’on n’y pouvait rien. J’étais révoltée et quand ça m’est arrivé, j’ai voulu lutter pour la vérité. C’est pour ça que j’ai mené ce combat." Avec son amie Naseem, journaliste et juriste, Mukhtar attend que justice soit faite. Les violeurs ont été condamnés à mort, mais elle demande le même sort pour les quatre témoins du viol, toujours en prison.
Plus qu’un symbole dans son pays, elle est devenue une icône mondiale. Les éditions françaises Oh ! Éditions ont publié son récit en 2005 et, depuis, elle voyage dans le monde entier.
Directrice d’école
Grâce aux 500 000 roupies (environs 3 600 euros) que lui a offerts "en compensation" le président Musharraf, elle a ouvert, fin 2002, une école dont les bâtiments jouxtent sa maison. Cette jeune femme, qui a appris à lire et écrire avec Naseem, se retrouve directrice d’une école primaire qui compte désormais 200 filles et 150 garçons. "L’éducation est indispensable pour que les enfants aient connaissance et conscience de leurs droits", répète-t-elle. Elle tient tête aux Mastoi, et son arme, c’est l’éducation. En éduquant les filles, elle brise leur orgueil et ébranle leur honneur. Belle revanche... "Pour eux, je suis plus que jamais leur ennemie. Mais aujourd’hui, ils se méfient de moi et ils ont peur. Car ils savent que j’ai le monde entier derrière moi et qu’ils sont vaincus."
Et après ?
Maintenant, que son exemple serve à faire reculer la pratique du Haro Kari , ce n’est pas gagné ! Les hommes, bien sûr, la détestent. Et si elle a eu le courage de se plaindre et la chance d’avoir une amie journaliste et juriste pour l’aider, les milliers d’autres femmes victimes du crime d’honneur restent terrées chez elles, avec cette lourde cicatrice. Le nombre de crimes d’honneur est même en progression. " Déshonorée ", Oh ! éditions, 2005 VOS REACTIONS
Vos réactions sur :
Mukhtar, violée pour "crime d’honneur"
Toutes les réactions :
ALIENORDAQUITAINE Ça me donne envie de vomir...
mercredi 17 octobre | 13:42
Et aprés on dit que les Français sont des fachos avec les tests ADN volontaires et payés par l’Etat... Cet article devrait être en première page de tous les magazines français !Comment supporter cette violence faite aux femmes parce qu’elle ont le désir de faire évoluer leur société ? Ça c’est important d’en parler !
Lambda La proposition d’une explication...
mercredi 17 octobre | 11:43
La théorie des 3 cerveaux ne permet-elle pas d’expliquer ces comportements ? Le « cerveau reptilien » s’occupe de la survivance, la perpétuation via la reproduction. Le « cerveau des émotions » gère la recherche des plaisirs (en dehors des analyses rationnelles réservées au « néocortex »). Il enregistre tous les événements en leur attribuant une sorte de coefficient selon l’appréciation positive ou négative ressentie. A partir de cette banque de données, il oriente ses quêtes et affine les valeurs de ces coefficients. Certains produits ou effets déclenchent des addictions. Ici, au fil des siècles, 1) une sorte de « culture » résultant d’une alliance du cerveau des émotions et du néocortex, de l’intérêt à court terme de la domination machiste, s’est installée 2) une régression ou enfermement ou conservatisme ou intégrisme s’est imposé en tant que défense désespérée contre l’avancée et la concurrence et la puissance « toujours plus » importante du modernisme occidental. En toute logique, faute d’autre solution permettant de ne pas perdre totalement la face, ne faut-il pas s’attendre à une sclérose générale, à des échappatoires kamikazes, terroristes ? Comment imaginer un de ces acteurs abdiquer ses pouvoirs ? N’est-il pas préférable pour lui de mourir et de (soi-disant) gagner le paradis et « 70 vierges ! » ?
augustine Crime envers les femmes
mercredi 17 octobre | 09:35
Ils ont bon dos, les "ultra" islamistes. Qu’attend donc la majorité de ce que d’aucuns appellent les musulmans modérés pour protester ? Le président du Pakistan ne passe-t-il pas pour un modéré ? Qu’a fait la famille de cette jeune femme violée ? Ne désirait-elle pas, au fond, qu’elle se suicide ? Quelle aide de son entourage a-t-elle reçue ? Mais comment s’étonner de ces moeurs lorsque l’on sait que le prophète lui-même, à un âge bien avancé, a consommé son "mariage" avec sa "jeune épouse" Aïcha âgée de 9 ans ?